
Le ministère de la justice a annoncé un examen l’industrie de la technologie pour savoir s’il existe des infractions aux lois antitrust qui nuisent à la concurrence. L’agence a annoncé l’examen mardi, mais n’a fourni que peu de détails sur son contenu.
Aucune entreprise n’a été nommée dans l’annonce, mais le ministère de la Justice a annoncé qu’il passerait en revue les "plates-formes en ligne leaders du marché", en mettant l’accent sur "la recherche, les médias sociaux et certains services de vente au détail en ligne". à savoir Google, Facebook et Amazon, seront sous le microscope.
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Ces trois sociétés, ainsi que Apple, a témoigné devant l’aile antitrust du comité judiciaire de la Chambre la semaine dernière. Mardi, le président du sous-comité, le représentant David Cicilline, lettres de suivi envoyées Amazon, Facebook et Google exigent plus de clarté sur les questions soulevées au cours de l’audience.
L’enquête du MJ examinera comment les plus grandes entreprises américaines du secteur des technologies ont accédé au pouvoir et si elles «se livrent à des pratiques qui ont réduit la concurrence, freiné l’innovation ou porté préjudice aux consommateurs». Si le ministère constate des violations, il indique qu’il prendra les mesures appropriées y remédier.
"Sans la discipline d’une concurrence réelle sur le marché, les plates-formes numériques risquent de ne pas répondre aux demandes des consommateurs", a déclaré Makan Delrahim, responsable antitrust du ministère de la Justice, dans un communiqué. "L’examen antitrust du ministère examinera ces questions importantes."
Amazon a refusé de commenter l’enquête du DOJ. Un porte-parole de Google fait référence aux remarques préparées Adam Cohen, directeur de la politique économique de la société, lors de l’audience antitrust. Facebook n’a pas pu être contacté immédiatement pour commenter.
Le ministère de la Justice et la Federal Trade Commission ont déjà demandé l’autorisation d’ouvrir une enquête sur Amazon, Facebook, Google et Apple. L’examen annoncé mardi laisse la porte ouverte à l’examen d’un plus grand nombre d’entreprises.
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